Une délégation d’astrophysiciens a réussi à observer pour la première fois l’activité volcanique d’un trou noir supermassif actif. Découvrons ensemble plus de détails sur cette nouvelle découverte scientifique.
Un travail d'observation
C’est en utilisant les radiotélescopes Lofar, que les chercheurs ont réussi à étudier minutieusement un nombre considérable de galaxies. Ces univers inconnus sont situés à 200 millions d'années-lumière de la Voie lactée, selon les estimations des scientifiques. Le progrès technique des nouveaux outils de travail, permet aujourd'hui d'effectuer des analyses profondes. Ce qui procure aux scientifiques la possibilité de passer au peigne fin les phénomènes naturels et astronomiques. Le groupe de galaxies a été baptisé Nest200047, par les chercheurs.
La première observation conclut que les noyaux galactiques actifs, injectent une grande énergie dans leur environnement. Cette influence affecte systématiquement leurs évolutions.
En effet, les recherches s'intéressent de près aux jets de noyaux galactiques actifs.
Les éruptions volcaniques d’un trou noir supermassif
Avec l’aide des radiotélescopes, les chercheurs ont pu récolter plusieurs informations sur les jets et les éruptions des trous noirs supermassifs. Ces recherches permettent essentiellement de comprendre l’influence de ces derniers, sur l'environnement des galaxies hôtes.
En effet, le gaz forme un ensemble de matières qui déclenche un processus de magnétohydrodynamique en pénétrant dans les trous noirs supermassifs actifs. Ce qui génère des jets de matières et une éruption instable dans le disque.
Toujours dans le même groupe de galaxies Nest200047, les scientifiques confirment l'observation des bulles et des filaments de plasma longs et chauds. Cette représentation est quasiment identique aux jets de centres et de gaz lors du processus des éruptions des volcans sur terre. Le groupe des chercheurs a publié une image représentative des éruptions volcaniques observées pour la première fois dans un trou noir supermassif. Cette démonstration de l'évolution du plasma chaud permettra de décortiquer d’autres phénomènes astronomiques dans le futur.
Le groupe de chercheurs dirigé par Marisa Breinsa de l'université de Bologne, a réussi une avancée scientifique. Ces nouvelles conclusions ont été publiées dans la revue spécialisée Nature Astronomy.